• mes textes


    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    4 commentaires

  • mes textes




    Un jour, une dame qui attendait son vol dans un aérogare, alla dans une boutique pour trouver un bon livre, acheta en même temps un sac de biscuits, puis s'assit pour lire.


    Bien qu'absorbée dans sa lecture,
    elle s'aperçut que l'homme à côté d'elle,
    effronté s'il en fut, prenait un ou deux biscuits
    dans le sac posé entre eux.
    Elle fit mine de ne rien voir pour éviter un esclandre fâcheux en public.
    Elle lisait, mangeait des biscuits et surveillait le départ des avions,
    tandis que le "voleur de biscuits"
    se goinfrait à même ses provisions.
    De plus en plus agacée à mesure que le temps passait,
    elle songeait : "Si je n'étais pas si aimable, je le giflerais."

    Chaque fois qu'elle prenait un biscuit, l'homme sans gêne se servait. Lorsqu'il n'en resta qu'un seul, elle se demanda comment il réagirait. L'air content, il eut un petit rire nerveux, puis il prit le dernier biscuit, le cassa en deux, lui offrit une moitié et mangea sa part.
    Lui arrachant des mains, elle se dit :
    "Je n'en reviens pas, cet homme a du culot et ne pourrait pas être plus impoli, vraiment, il ne me dit même pas merci !"

    Elle ne se rappelait pas avoir été aussi exaspérée.
    Aussi soupira-t-elle d'aise, lorsque son vol fut annoncé.
    Rassemblant ses affaires, elle partit prendre son avion, sans même regarder l'ingrat voleur de biscuits.

    Une fois à bord et confortablement installée, elle chercha son livre qu'elle avait presque terminé.
    En fouillant dans son sac, elle fut estomaquée, ses biscuits étaient là, sous ses yeux étonnés.
    "Si mes biscuits sont ici, pensa-t-elle, désespérée,
    alors les autres étaient les siens, que je lui ai volé moi-même et qu'il a bien voulu partager !"

    Trop tard pour s'excuser,
    elle se rendit compte, malheureuse, que c'était elle l'impolie,
    l'ingrate, la voleuse !

    Miroir, miroir, mon beau miroir !...
    combien de fois accusons-nous les autres
    alors que nous ne remarquons pas ce que nous faisons nous-mêmes...




    Anonyme

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    7 commentaires
  • mes photo

    Je voulais t'offrir le plus précieux des cadeaux
    Le cadeau de l'amitié
    Bon anniversaire ma douce amie
    N'oublies jamais que tu embellis nos vies
    Que ton sourire nous rappelle cette joie de vivre
    N'oublies jamais que tu es quelqu'un d'exceptionnel.
    Qu'avec toi la vie est plus belle
    Avec toute notre amitié
    Simon Sean Lolo Pascal

     
    http://macedoine.eklablog.com/

    http://animusiques.eklablog.com/



    mes textes


    mes textes



     
    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    12 commentaires
  • mes textes              Bon Anniversaire
                          Dgidgi 
    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    3 commentaires
  • mes textes






    Vous avez deux choix

     

     
     

    Jerry est gérant d’un restaurant. Il est toujours de bonne humeur.

     
     

    Quand on lui demandait comment ça allait, il répondait toujours:

     
     

    « Si ça allait mieux, je serais jumeau! »

     
     

    Les serveurs de son restaurant quittaient leur emploi pour le suivre

     
     

    afin de demeurer à son service d’un restaurant à l’autre

     
     

    Pourquoi ?

     
     

    Parce que Jerry était un motivateur né.

     
     

    Quand ça n’allait pas bien pour un de ses employés, Jerry était toujours là pour lui faire voir le côté positif de la situation.

     
     

    Son attitude me rendit curieux. Alors, un jour j’allai le voir et lui demandai:

     
     

    Je ne comprends pas! Personne ne peut être positif tout le temps. Comment fais-tu?

     
     

    Jerry répondit, « Chaque matin à mon réveil, je me dis, j’ai deux choix aujourd’hui. Je peux choisir d’être de bonne humeur ou de mauvaise humeur.

     
     

    Je choisis toujours d’ être de bonne humeur. À chaque fois que quelque chose de mal arrive, je peux choisir d’être victime ou d’apprendre. Je choisis toujours d’apprendre.

     
     

    Quand on vient se plaindre à moi, je peux choisir de me taire ou d’en faire ressortir le côté positif de la vie. Je choisis toujours cette dernière option.

     
     

    « Mais ce n’est pas toujours si facile, » protestai-je.

     
     

    « Oui ça l’est, » dit Jerry.

     
     

    Tout dans la vie est une question de choix. Après avoir enlevée le superflu, chaque situation est un choix.

     
     

    On choisit comment réagir aux situations, comment les gens affectent notre humeur, d’être de bonne humeur ou pas. On choisit comment vivre notre vie. »

     
     

    Plusieurs années plus tard,

     
     

    J’appris que Jerry avait accidentellement fait ce qu’on doit absolument éviter dans le monde de la restauration.

     
     

    Il avait laissé la porte arrière de son restaurant ouverte.

     
     

    Et alors, au matin il fut dévalisé par trois hommes armés.

     
     

    Pendant que Jerry tentait d’ouvrir son coffre-fort,

     
     

    Sa main nerveuse glissa de la manette de combinaison. Les voleurs paniqués firent feu sur lui.

     
     

    Heureusement Jerry fut rapidement trouvé et transporté à l’hôpital.

     
     

    Après 18 heures de chirurgie et des semaines des soins intensifs, Jerry pu quitter l’hôpital avec des fragments de projectiles dans son corps…

     
     

    Je rencontrai Jerry environ six mois après l’accident.

     
     

    Quand je lui demandai comment il allait, il me répondit, « Si j’allais mieux, je serais jumeau. Veux-tu voir mes cicatrices? »

     
     

    Je déclinai son offre mais lui demandai ce qui lui avait passé par la tête lors du cambriolage.

     
     

    « J’ai d’abord pensé que j’aurais dû barrer la porte arrière,

     
     

    Puis après qu’ils m’eurent tiré dessus, je me suis souvenu que j’avais deux choix: Je pouvais choisir de vivre ou de mourir. J’ai choisi de vivre. »

     
     

    « N’avais-tu pas peur? » que je lui demandai.

     
     

    Il continua, « Les ambulanciers ont été super. Il ne cessaient pas de me répéter que tout irait bien.

     
     

    Mais quand ils m’ont emmené à l’urgence et que j’ai vu l’expression sur les visages des médecins et des gardes, j’ai paniqué.

     
     

    Dans leurs yeux, Je pouvais lire, c’est un homme mort

     
     

    Il fallait que je passe à l’action. » Qu’as-tu fait? Lui demandai-je.

     
     

    « He bien, il y avait une grosse infirmière qui me criait des questions. Elle me demanda si j’étais allergique à quelque chose. »

     
     

    Je lui répondis « oui, aux balles de fusils. » 
     

    Quand ils eurent fini de rire, je leur dit: « J’ai choisi de vivre. S’il vous plait, opérez-moi comme si j’étais vivant et non pas mort.

     
     

    Jerry survécut grâce à la compétence des médecins mais aussi à cause de son étonnante attitude

     
     

    J’ai appris de lui qu’à chaque jour on a le choix de jouir de la vie ou de la détester

     
     

    La seule vraie chose qui nous appartienne – que personne ne puisse contrôler ou nous prendre – c’est notre attitude,

     
     

    Alors, en prenant soin de cela, tout dans la vie devient plus facile

     
     

    Maintenant il vous reste deux choix !

     

    Rester à se lamenter ou vivre

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    4 commentaires
  • mes textes

     

    La neige Tombe:

     

    La Neige tombe 

     

    Toute blanche dans la nuit brune,
    La neige tombe en voletant.
    O pâquerettes ! Une à une,
    Toutes blanches dans la nuit brune.

     

     

    Qui donc là-haut plume la lune ?
    O frais duvet ! flocons flottants !
    Tout blanche dans la nuit brune,
    La neige tombe en voletant.

     

    Jean RICHEPIN

     



    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    4 commentaires
  • mes textes





      
    Un groupe de jeunes gens étudiaient en géographie

     

    les 7 merveilles du monde.

     

      À la fin d'un cours, le professeur demande aux étudiants

    de faire une liste de ce qu'ils croient être aujourd'hui

    les 7 merveilles du monde.

     

      Sauf quelques désaccords, les étudiants ont pour la plupart

    écrit sur leur feuille de réponse:

     

      1-Les Pyramides d'Égypte

      2-La grande muraille de Chine

      3-Le Taj Mahal en Indes

      4-Les statues de l'Île de Pâques

      5-Les pyramides de Chichen ITZÁ au Mexique

      6-Le Colisée de Rome

      7-L'Alhambra en espagne

     

      Tout en recueillant les réponses, le professeur aperçoit une

    jeune fille bien tranquille qui n'a pas encore commencé

    sa réponse, alors, il lui demande gentiment si elle éprouve

    quelque difficulté avec cette liste à rédiger.

     

      La jeune fille lui répond : "Oui, en effet; je ne peux vraiment

    pas me décider, il y en a tellement."

     

      Le professeur de lui répondre : "Dis-moi ce que tu as trouvé, et je pourrai peut-être t'aider"

     

     

      La jeune fille hésite, puis commençe à écrire :

     

     

    1 - Voir

     

      2 - Entendre

         

      3 - Toucher

       

      4 - Sentir

     

      Elle hésite encore un peu puis continue avec:

     

      5 - Courir

     

      6 - Rire

     

      7 - Aimer

     

      Comme c'est facile de regarder les exploits humains et de les

    considérer comme des merveilles, tandis que, nous, nous ne voyons

    même plus la grandeur de ces cadeaux si merveilleux qui nous

    ont été donnés gratuitement, étant même portés à les qualifier de très ordinaires.

     

     

      Nous pourrions peut-être faire une petitpause aujourd'hui    

    et nous rappeler combien ces cadeaux de vie sont vraiment de  Grandes Merveilles.

     

     

     

                                                                                           Marie Sole

     


    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    9 commentaires
  •  

     

    mes textes


     



     
    - Pourquoi pleures-tu ? 
    - Parce que je suis une femme, lui répondit-elle. 
    - Je ne comprends pas, dit-il.

     

    Sa mère le prit dans ses bras et lui dit : 
    - Et jamais tu ne comprendras.

    Plus tard le petit garçon demanda à son père : 
    - Pourquoi maman pleure-t-elle ? Je ne comprends pas ! 
    - Toutes les femmes pleurent sans raison, fut tout ce que son père put lui dire.

    Devenu adulte, il demanda à Dieu : 
    - Seigneur, pourquoi les femmes pleurent-elles aussi facilement ?

    Et Dieu répondit : 
    - Quand j'ai fait la femme, elle devait être spéciale. 
    J'ai fait ses épaules assez fortes pour porter le poids du monde ; 
    et assez douces pour être confortables. 
    Je lui ai donné la force de donner la vie, 
    et celle d'accepter le rejet qui vient souvent de ses enfants.

    « Je lui ai donné la force pour lui permettre de continuer quand tout le monde abandonne, 
    et celle de prendre soin de sa famille en dépit de la maladie et de la fatigue. 
    Je lui ai donne la sensibilité pour aimer ses enfants d'un amour inconditionnel, 
    même quand ces derniers l'ont blessée durement.

    « Je lui ai donné la force de supporter son mari dans ses défauts 
    et de demeurer à ses côtés sans faiblir. 
    Et finalement je lui ai donné des larmes à verser quand elle en ressent le besoin.

    « Tu vois mon fils, la beauté d'une femme n'est pas dans les vêtements qu'elle porte, 
    ni dans son visage, ou dans la façon de se coiffer les cheveux. 
    La beauté d'une femme réside dans ses yeux. 
    Car c'est la porte d'entrée de son cœur - le lieu où réside l'amour. 
    Et c'est souvent par ses larmes que tu vois passer son cœur.

    « Toutes les femmes sont belles, 
    et nous devons les encourager à s'aimer telles qu'elles sont 
    et à avoir une juste estime d'elles-mêmes. »

     

     

    Anonyme




    A ma Lolo :

    mes textes

     

     

     

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    10 commentaires
  • dessin


    Le sens de ma vie...
    J'ai la responsabilite de mon bonheur.
    C'est toujours moi qui donne le sens aux evenements et aux gens.
    Par exemple je suis belle, je suis laide, je suis fille de medecin ou fille de commis de bureau,
    je n'ai pas de pouvoir sur ces choses,
    elles me sont imposees a ma naissance et je ne peux rien y faire.

    Mais, je peux choisir la facon dont je vais considerer
    ces choses et ne pas m'en servir comme excuses
    pour ne pas prendre action sur ma vie.
    Si je ne peux rien faire pour changer les donnees
     avec lesquelles je suis partie dans la vie,
    je peux toujours modifier mon attitude a leur egard
     et meme m'en servir a mon avantage.

    Je peux transformer ma vie si je le veux,
     modifier mon attitude face a des evenements qui ne sont pas necessairement de ma faute mais avec lesquels j'ai eu a vivre,
    et qui dans mon "ici et maintenant" n'ont plus leur place.
    Je peux me reapproprier le pouvoir de diriger ma vie,
     et de prendre la place qui me revient, qui me convient.
    C'est important de prendre la place qui nous revient, trouver sa voie, 
    "Deviens qui tu es".
    Cette maxime fait appel au courage et a la creativite.
    Courage au sens ou on ne doit pas avoir peur d'ecouter ce qui est au fond de nous et de prendre les moyens pour realiser nos reves les plus chers.
    Qu'on reve de devenir premier homme d'etat ou encore un pompier
     ce n'est pas ca qui est important,
    ce qui est important selon moi, c'est de vivre au dehors ce qui se passe en dedans de nous.
    C'est en realisant ce qu'on veut que notre vie prend un sens.
    On n'a pas à prouver qu'on est bon a qui que ce soit.
     Si j'essaie, dans mes choix de carriere par exemple de plaire a mon entourage en faisant ce qu'eux jugent bien et qu'au fond de moi je suis foncierement malheureuse parce que j'etouffe mes aspirations, je n'emprunte pas la bonne voie.
    Je n'ai pas a faire pour les autres, a me justifier face aux autres, le plus important de tout ce n'est pas ce que les autres pensent de moi mais ce que Je pense de moi.
    L'etre humain est dynamique, il peut se creer une vie dans laquelle il se sent a l'aise parce que de facon generale on sait ce qui nous plait vraiment
     et si toutefois on ignore ce qui nous plait, et bien c'est en experimentant differentes choses
    (metiers, professions, cours) que nous saurons si nous aimons ou pas.

    L'important c'est de ne pas se fermer
     aux possibilites que la vie nous offre.
    Il faut exploiter ses talents, ses aptitudes, et se creer une image positive de soi. Faire de la vie son alliee et non son ennemie.

    Johanne Cardinal – 1989
    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    16 commentaires
  • citation


    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    1 commentaire
  •  

    dessin



    Le diamant et la goutte de rosée

     

     

    Un beau diamant, qui avait autrefois brillé au doigt d'une princesse, gisait dans un pré, à côté de pissenlits et de pâquerettes. Juste au-dessus de lui, brillait une goutte de rosée qui s'accrochait timidement à un brin d'herbe. Tout en haut, le brillant soleil du matin dardait ses rayons sur tous les deux, et les faisait étinceler.

     

     

    La modeste goutte de rosée regardait le diamant, mais sans oser s'adresser à une personne d'aussi noble origine. Un gros scarabée, en promenade à travers les champs aperçut le diamant et reconnut en lui quelque haut personnage. 
    - Seigneur, dit-il en faisant une grande révérence, permettez à votre humble serviteur de vous offrir ses hommages. 
    - Merci, répondit le diamant avec hauteur.

     

     

    En relevant la tête, le scarabée aperçut la goutte de rosée. 
    - Une de vos parentes, je présume, monseigneur ? demanda-t-il avec affabilité en dirigeant une de ses antennes vers la goutte de rosée.

     

     

    Le diamant partit d'un éclat de rire méprisant. 
    - Quelle absurdité ! déclara-t-il. Mais qu'attendre d'un grossier scarabée ? Passez votre chemin, monsieur. Me mettre, moi, sur le même rang, dans la même famille qu'un être vulgaire, sans valeur ! et le diamant s'esclaffait. 
    - Mais, monseigneur, il me semblait. Sa beauté n'est-elle pas égale à la vôtre ? balbutia timidement le scarabée déconfit. 
    - Beauté, vraiment ? Imitation, vous voulez dire. En vérité, l'imitation est la plus sincère des flatteries, il y a quelque satisfaction à se le rappeler. Mais cette beauté factice même est ridicule si elle n'est pas accompagnée de la durée. Bateau sans rames, voiture sans chevaux, puits sans eau, voilà ce que c'est que la beauté sans la fortune. Aucune valeur réelle là où il n'y a ni rang ni richesse. Combinez beauté, rang et richesse, et le monde sera à vos pieds. A présent, vous savez pourquoi on m'adore.

     

     

    Et le diamant lança de tels feux que le scarabée dut en détourner les yeux, pendant que la pauvre goutte de rosée se sentait à peine la force de vivre, 
    tant elle était humiliée.

     

     

    Juste alors une alouette descendit comme une flèche, et vint donner du bec contre le diamant. 
    - Ah ! fit-elle désappointée, ce que je prenais pour une goutte d'eau n'est qu'un misérable diamant. Mon gosier est desséché, je vais mourir de soif. 
    - En vérité ! Le monde ne s'en consolera jamais, ricana le diamant.

     

     

    Mais la goutte de rosée venait de prendre une soudaine et noble résolution. 
    - Puis-je vous être utile, moi ? demanda-t-elle.

     

     

    L'alouette releva la tête. 
    - Oh ! ma précieuse amie, vous me sauverez la vie. 
    - Venez, alors. Et la goutte de rosée glissa du brin d'herbe dans le gosier altéré de l'alouette.

     

    - Oh ! oh ! murmura le scarabée en reprenant sa promenade. Voilà une leçon que je n'oublierai pas. Le simple mérite vaut plus que le rang et la richesse sans modestie et sans dévouement ; il ne peut y avoir aucune réelle beauté sans cela.

     

    Conte allemand

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    2 commentaires
  •  

    dessin



    Un vieux charpentier s'apprêtait à prendre sa retraite.

     

    Il dit à son patron et client (il travaillait sous contrat) qu'il

    souhaitait abandonner la construction et se consacrer à sa famille.

    Sa petite retraite lui permettait de vivre agréablement, à

    condition de faire attention.

     

      Son patron et client fut désolé de voir un si bon travailleur

    le quitter et lui demanda, comme un service personnel, s'il

    pouvait construire une dernière maison.

     

      Le charpentier répondit oui, mais on pouvait voir que le cœur

    n'y était plus. Il utilisait des matériaux inférieurs et les finitions

    laissaient à désirer. Dommage de finir sa carrière de cette

    façon!

     

      Lorsque le charpentier finit son travail et que le constructeur

    vint pour inspecter la maison, il remit la clef de la porte

    principale à son employé. "Cette maison est à toi", dit-il,

    "en reconnaissance pour toutes ces années de bonne collaboration".

     

      Quel choc! Quelle honte! Si seulement il avait su qu'il

    construisait une maison qu'il allait lui-même habiter...

    il l'aurait faite bien différemment. Il allait devoir vivre dans

    la maison qu'il avait construite sans amour.

     

      Il en va de même pour nous tous.

    Nous construisons trop souvent nos vies de manière distraite,

    sans amour. Pour certaines choses importantes nous ne donnons

    pas le meilleur de nous-même.

     

      Ensuite nous sommes choqués de nous rendre compte que nous avons

    à vivre dans la maison que nous avons construite.

     

      Si nous y avions pensé plus tôt, nous l'aurions construite

    différemment.

     

      Pensez à vous comme à un charpentier. Pensez à votre maison.

    A chaque fois que vous donnez un coup de marteau, plantez un clou,

    érigez un mur... construisez avec sagesse.

     

      Il y a de grandes chances pour que ce soit la seule vie

    que vous construirez de cette façon. Même s'il ne vous restait qu'un

    seul jour à vivre, ce jour mériterait d'être vécu dans la

    plénitude et le respect de vous-même.

     

      Il y a une plaque sur le mur de cette maison imaginaire qui dit

    "La vie est un projet que vous bâtissez vous-même".

     

      Qui peut le dire plus clairement? Votre vie d'aujourd'hui

    est le résultat de vos attitudes et de vos choix passés.

    Votre vie de demain sera le résultat des attitudes et des

    choix que vous faites... aujourd'hui!

     

     

    Auteur Anonyme

     

    dessin

     

     


    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  •  

    dessin



    Deux hommes, les deux sérieusement malades, occupaient la même chambre d'hôpital. Un des deux hommes pouvait s'asseoir dans son lit pendant une heure chaque après-midi afin d'évacuer les fluides de ses poumons. Son lit était à côté de la seule fenêtre de la chambre. L'autre homme devait passer des journées couché sur son dos.

     

    Les hommes parlaient pendant des heures. Ils parlaient de leurs épouses et familles, leurs maisons, leurs emplois, leur participation dans le service militaire et où ils avaient été en vacances. Et chaque après-midi, quand l'homme dans le lit près de la fenêtre pouvait s'asseoir, il passait le temps à décrire à son compagnon de chambre tout ce qu'il pouvait voir dehors. L'homme dans l'autre lit commença à vivre pour ces périodes d'une heure où son monde était élargi et égayé par toutes les activités et couleurs du  monde extérieur.

    De la chambre, la vue donnait sur un parc avec un beau lac. Les canards et les cygnes jouaient sur l'eau tandis que les enfants naviguaient leurs bateaux modèles. Les jeunes amoureux marchaient bras sous bras parmi des fleurs de chaque couleur de l'arc-en-ciel. De grands arbres décoraient le paysage et une belle vue de la ville pouvait être vue dans la distance. Pendant que l'homme près de la  fenêtre décrivait tout ceci dans le détail exquis, l'homme de l'autre côté de la chambre fermait ses yeux et imaginait la scène pittoresque. Lors d'un bel après-midi, l'homme près de la fenêtre décrit une parade qui passait par là. Bien que l'autre homme ne pouvait pas entendre l'orchestre, il pouvait la voir avec l'oeil de son imagination tellement son compagnon l'a dépeint avec des mots descriptifs.

    Les jours et les semaines passèrent. Un matin, l'infirmière de jour est arrivée pour apporter l'eau pour leurs bains et trouva le corps sans vie de l'homme près de la fenêtre, qui est mort paisiblement dans son sommeil. Elle était attristée et appela les préposés pour prendre son corps. Dès qu'il senti que le temps était approprié, l'autre homme demanda s'il pouvait être déplacé à côté de la fenêtre. L'infirmière était  heureuse de le transférer et après s'être assurée qu'il était confortable, elle le laissa seul.

    Lentement, péniblement, il se monta vers le haut sur un coude pour jeter son premier coup d'oeil dehors. Enfin il aurait la joie de le voir lui-même. Il s'étira pour se tourner lentement vers la fenêtre près du lit. Tout ce qu'oeil vu, fut un mur. L'homme demanda à l'infirmière pourquoi son compagnon de chambre décédé avait décrit de si merveilleuses choses. L'infirmière répondit que l'homme était aveugle et ne pouvait même pas voir le mur. Elle dit: "Peut-être, il a juste voulu vous encourager."

    Epilogue...

    Il y a un bonheur énorme à rendre d'autres heureux, en dépit de nos propres situations. La peine partagée est la moitié de la douleur, mais le bonheur une fois partagé, est doublé. Si vous voulez vous sentir riche, vous n'avez qu'à compter toutes les choses que vous avez que l'argent ne peut pas acheter. Aujourd'hui est un cadeau, c'est pourquoi il s'appelle le présent.

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    3 commentaires
  • dessin



    Promettez-vous...

     

      D'être si fort que rien ne peut perturber

    votre paix intérieure.

     

      De parler de santé, de bonheur

    et de prospérité à chaque personne

    à laquelle vous parlez.

     

      D'aider chacun de vos amis à sentir

    ce qu'ils ont comme potentiel en eux

    et combien le fait de les connaître fait une différence

    dans votre vie.

     

      De regarder le côté ensoleillé

    de chaque chose et de transformer

    votre optimisme en action.

     

      De penser seulement ce qu'il y a de meilleur,

    de travailler

    seulement pour le meilleur,

    et de vous attendre au meilleur.

     

      D'être aussi enthousiasmé par le succès

    des autres que par le vôtre.

     

      D'oublier les erreurs passées

    et de penser aux réussites futures.

     

      D'être toujours chaleureux et

    de sourire à toutes les créatures vivantes

    que vous croisez.

     

      De tellement vous consacrer

    à votre développement personnel

    qu'il ne vous reste plus de temps

     pour critiquer les autres.

     

      D'être trop serein pour vous faire du souci,

    trop noble

    pour être en colère,

    trop fort pour avoir peur,

     trop généreux

    pour en vouloir à qui que ce soit,

    et trop heureux  pour  considérer

    comme "problèmes"

    les obstacles que vous saurez  contourner.

     

     

    (Credo du Club des Optimistes de North Bay)

    dessin


    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    2 commentaires
  •  

    dessin


     




    L'Amour C'est Ca !

    C'est un feu d'artifice qui jaillit dans vos yeux,
    comme milles étincelles sur la voûte des cieux.
    C'est vos doigts enlacés,
    ces baisers volés.
    C'est ce sourire radieux
    quand vous vous regardez dans les yeux.
    C'est la complicité de ces moments à deux
    que l'on ne peut comprendre qu'en étant amoureux.
    Ce sont ces petits riens qui font le quotidien,
    mais qui hissent pour vous une écharpe de liens.
    C'est la joie d'être ensemble
    chaque jour, chaque instant.
    C'est d'aimer, recevoir, partager sans mélange
    et se sentir touchés par la grâce des anges.
    C'est construire son nid
    pour s'y mettre à l'abri.
    C'est vivre à deux les joies,
    autant que les soucis.
    C'est d'avoir un rocher ou pouvoir s'appuyer
    si un vent ennemi vous faisait trébucher.
    C'est trouvé chaque soir le chemin de ses bras
    pour pouvoir ronronner comme un chat.
    C'est divin! C'est magique! Ca s'appelle l'amour!
    Pour vous comme pour moi ça rime avec toujours.

     

     

     

     



                                                                               -                                                                                              Thiphanie –

     

     


    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    1 commentaire
  • photo


    Beaucoup de gens rentrent et sortent de ta vie.

    Mais seuls les amis laissent des traces dans ton coeur.

    Pour te parler à toi même, utilise ta tête.

    Pour parler aux autres, utilise ton cœur.  
     
     

    Il n’y a qu’une lettre qui sépare la rage (en Anglais Anger) du Danger.

    Si quelqu’un te trahit une fois, c’est de sa faute ;

    s’il te trahit une deuxième fois, c’est de ta faute.  
     

     

    Les grands esprits discutent des idées ;

    les gens normaux discutent des faits ;

    les esprits mesquins jasent sur les autres.  

    Celui qui a perdu de l’argent, a beaucoup perdu ;  

    celui qui a perdu un ami, a perdu une part de lui ;

    celui qui a perdu la foi, a tout perdu.

      

    Hier, c’est l’histoire.

    Demain, c’est le mystère. 

    Aujourd’hui, c’est un cadeau. 

     

                                                                                                                                                                             Evelyne lallemand


    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    6 commentaires
  •  

    dessin




     

    Aujourd'hui,
    dans la nuit du monde et dans l'espérance,
    j'affirme ma foi dans l'avenir de l'humanité.

    Je refuse de croire que les
    circonstances actuelles rendent les hommes
    incapables de faire
    une terre meilleure.

    Je refuse de partager
    l'avis de ceux
    qui prétendent l'homme
    à ce point
    captif de la nuit
    que l'aurore de la paix
    et de la fraternité
    ne pourra jamais devenir une réalité.

    Je crois que la vérité
    et l'amour,
    sans conditions, auront
    le dernier mot effectivement.

    La vie, même vaincue
    provisoirement,
    demeure toujours plus forte que la mort.

    Je crois fermement qu'il reste
    l'espoir d'un matin radieux,
    je crois que la bonté pacifique
    deviendra un jour la loi.

    Chaque homme pourra s'asseoir
    sous son figuier,
    dans sa vigne,
    et plus personne
    n'aura plus de raison d'avoir peur.

     

    Texte : Martin Luther King

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    3 commentaires
  • dessin


    Une prière qui commence par :
    "Faites que rien ne nous sépare,
    Faîtes que jamais rien ne s'arrête
    Ni les jours
    Ni les nuits de tendresse fine
    Où les mots sont des caresses que l'on échange,
    Une prière comme un rempart
    Aux facéties du hasard
    Pour que jamais  rien ne change
    Et que rien ne nous sépare de l'amour. ‘’ 

             

                                                                                    Michel Jonaz

     

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    5 commentaires
  •  

    dessin


     

    Celui qui n'est plus ton ami ne l'a jamais été

     

                                                  William Shakespeare

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    2 commentaires
  •  

    dessin



    Le seul fait de rêver est déjà très important,

     

    Je vous souhaite des rêves à n’en plus finir,

    Et l’envie furieuse d’en réaliser quelques- uns,

    Je vous souhaite d’aimer ce qu’il faut aimer,

    Je vous souhaite d’oublier ce qu’il faut oublier,

    Je vous souhaite des chants d’oiseaux au réveil,

    Je vous souhaite des rires d’enfants,

    Je vous souhaite des silences,

    Je vous souhaite de résister à l’enlisement,

    À l’indifférence, aux vertus négatives de notre époque.

    Je vous souhaite surtout d’être vous.

     

    Auteur : Jacques Brel

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    2 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique