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    L'amitié est rare, très rare, d'où son aspect précieux et marquant.

    On arrive à la fin de la vie et on essaie de compter ceux qu'on considère comme de vrais amis, ceux dont la fidélité a été sans failles, ceux qui vous ont aimé tel que vous êtes, sans vous juger ni essayer de vous changer.

    C'est dans les épreuves, les moments difficiles et parfois décisifs, que l'amitié se révèle et se consolide ou s'absente et tombe dans le commun de l'oubli.

    L'amitié est ce qui permet de désarmer la cruauté et d'affronter le mal.

    Elle peut avoir existé, avoir été sincère et forte, et puis se briser d'un seul coup, s'anéantir parce qu'elle aura manqué à l'un de ses principes fondamentaux, la fidélité, c'est-à-dire la constance dans la confiance, cette présence qui ne doit jamais faire défaut.

     

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    " L'amitié est un baume précieux...
      Un sourire dans un froncement de sourcils,
      Une lumière bien aimée,
      Une solitude , un refuge, une joie. "

      - Percy Bysshe Shelley -
     

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    Une belle leçon de vie

     

    L'automne prochain lorsque vous verrez les oies se diriger vers le sud pour l'hiver dans leur vol typique en « V», vous pourriez vous demander ce que la science a découvert au sujet de cette manière bien caractéristique de voler. À chaque battement d'aile de chaque oiseau, un courant d'air ascendant est créé pour l'oiseau qui suit immédiatement à l'arrière.

    En volant en « V», tout le voilier d'oies augmente d'au moins 71 % la distance de vol que chaque oiseau aurait parcourue en volant seul. Les gens qui partagent une direction commune et un sens de la communauté peuvent arriver là où ils vont plus vite et plus facilement parce qu'ils « voyagent » en se faisant confiance les uns les autres.

    Si une oie sort de la formation, elle ressent soudain du poids et de la résistance à essayer de faire la route seule... et rapidement elle revient en formation pour profiter de la force ascendante de l'oiseau devant elle.

    Lorsque l'oie de tête est fatiguée, elle se replie dans la formation... et une autre prend sa place à la tête du voilier. Il est très sensé de prendre son tour dans les tâches exigeantes... autant avec les gens qu'avec les oies volant vers le sud. Les oies crient constamment d'en arrière pour encourager celles d'en avant à maintenir leur vitesse et leur endurance. Quel est notre message lorsque, d'en arrière, nous crions aux frères d'en avant ?

    Finalement, et cela est important, lorsqu'une oie est malade ou blessée par un coup de fusil et qu'elle tombe hors de la formation, deux autres oies se dégagent du voilier et la suivent en bas pour lui apporter de l'aide et la protéger. Elles restent avec l'oie blessée jusqu'à ce qu'elle puisse voler à nouveau ou qu'elle meure et seulement à ce moment-là elles repartent par elles-mêmes ou avec un autre voilier afin de rejoindre leur propre groupe.

    Si nous avons le bon sens d'une oie, nous nous soutiendrons les uns les autres de la même manière.

    Référence :

    Le bulletin du grand désapprentissage, vol. 1 no 3 (avril 1994), p. 8

    Extrait du Manuel de service ÉA 2003

     

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