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    C’est quelques mots pour vous parler de ma femme.

    C’est une amie qui remplit mon cœur et mon âme.

    Elle est mon rayon de soleil, ma muse, ma merveille.

    Des années se sont écoulées et pourtant mon amour ne fait que se renforcer.

    Chaque jour discrètement, je la regarde, je l’admire.

    C’est incroyable  comme elle arrive à me faire rire.

    Je kif son amour, sa gentillesse, même son humour tout en finesse.

    Je vous parle de ma femme celle pour qui mon cœur s’enflamme.

    La chance de ma vie s’appelle Laurence.

    Notre rencontre fut une délivrance.

    Mon amie, ma compagne, la mère de nos enfants.

    Ce ne sont que quelques  mots que je dédie à ma tendre Lolo.

    Après autant d’année c’est comme la première fois.

    Alors Lolo épouse Moi !

    Veux-tu devenir ma femme ?

     

     

    Pascal

     

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    Le roi et le jardin

    Il y avait un jour un roi qui avait planté près de son château toutes sortes d'arbres, de plantes et son jardin était d'une grande beauté. Chaque jour, il s'y promenait : c'était pour lui une joie et une détente.

    Un jour, il dût partir en voyage. A son retour, il s'empressa d'aller marcher dans le jardin. Il fût surpris en constatant que les plantes et les arbres étaient en train de se dessécher. Il s'adressa au pin, autrefois majestueux et plein de vie, et lui demanda ce qui s'était passé. Le pin lui répondit :

    - J'ai regardé le pommier et je me suis dit que jamais je ne produirais les bons fruits qu'il porte. Je me suis découragé et j'ai commencé à sécher.

    Le roi alla trouver le pommier : lui aussi se desséchait... Il l'interrogea et il dit :

    - En regardant la rose et en sentant son parfum, je me suis dit que jamais je ne serais aussi beau et agréable et je me suis mis à sécher.

    Comme la rose elle-même était en train de dépérir, il alla lui parler et elle lui dit : "Comme c'est dommage que je n'ai pas l'âge de l'érable qui est là-bas et que mes feuilles ne se colorent pas à l'automne. Dans ces conditions, à quoi bon vivre et faire des fleurs? Je me suis donc mise à dessécher."

    Poursuivant son exploration, le roi aperçut une magnifique petite fleur. Elle était toute épanouie. Il lui demanda comment il se faisait qu'elle soit si vivante.

    Elle lui répondit :

    - J'ai failli me dessécher, car au début je me désolais. Jamais je n'aurais la majesté du pin, qui garde sa verdure toute l'année; ni le raffinement et le parfum de la rose. Et j'ai commencé à mourir mais j'ai réfléchi et je me suis dit : "Si le roi, qui est riche, puissant et sage, et qui a organisé ce jardin, avait voulu quelque chose d'autre à ma place, il l'aurait planté. Si donc, il m'a plantée, c'est qu'il me voulait, moi, telle que je suis et, à partir de ce moment, j'ai décidé d'être la plus belle possible!

    Anonyme
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    Du haut de tes huit ans

    Tu en as déjà connu des tourments

    Ta situation n’est pas facile

    Pour ne pas dire hostile

    Encore des coups,des blessures.

    Quand il ne s’agit pas d’injures !

    Je m’en veux tellement,

    D’être si loin de toi mon enfant.

    Nous allons encore tout dédramatiser,

    Afin de pouvoir te protéger.

    Comme je voudrais hurler, pleurer.

    Je refuse ce monde de haine et de méchanceté.

    Maintenant c’est notre lot quotidien,

    Notre monde devient de plus en plus malsain.

     se trouvent les vraies valeurs ?

    la tendresse et le cœur.

    Où se trouvent la politesse et le respect ?

    Dans quel monde vivons-nous ?

    Haines, meurtres, violences, pédophilie, vols se voient partout !

    Mais dans quel monde vivons-nous ?

    Certaines religions entraînent l’homme au bataillon

    Et pour moi la religion doit prôner la paix, la tolérance, le partage, le pardon.

    Quand l’être humain agira –t-il autrement ?

    Avec sagesse et raisonnements

    Quand montrerons-nous l’exemple à nos enfants ?

    L’homme pollue, détruit, agit égoïstement.

    Mais où sont passées nos valeurs d’antan ?

    Apprendre le respect, la politesse est le devoir de chaque parent !

    Il est grand temps de se ressaisir !

     Le monde où nous vivons est en train de pourrir !

    Il faut penser à l’avenir, sinon nos enfants, vos enfants risquent d’en souffrir.

    La vie ne fait aucun cadeau

    L’éducation,l’instruction sont des outils et non des fardeaux.

    Dans la vie il n’y a rien pour rien

    Si nous voulons avancer ; si nous voulons progresser

    Il ne faut pas oublier l’importance d’éduquer, de travailler,

    Mais surtout surtout RESPECTER

     

    ©Daniels P

     

      

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    1. Tenez compte du fait que le grand amour et les grandes réussites impliquent de grands risques.

    2. Lorsque vous perdez, ne perdez pas la leçon.

    3. Suivez les trois R : Respect de soi-même, Respect des autres, Responsabilité de tous vos actes.

    4. Souvenez vous que ne pas obtenir ce que vous voulez est parfois un merveilleux coup de chance.

    5. Apprenez les règles pour savoir comment les transgresser correctement.

    6. Ne laissez pas une petite dispute meurtrir une grande amitié.

    7. Lorsque vous réalisez que vous avez commis une erreur, prenez immédiatement des mesures pour la corriger.

    8. Passez un peu de temps seul chaque jour.

    9. Ouvrez vos bras au changement, mais ne laissez pas s'envoler vos valeurs.

    10. Rappelez vous que le silence est parfois la meilleure des réponses.

    11. Vivez votre vie d'une façon bonne et honorable. Ainsi, lorsque vous vieillirez et que vous regarderez en arrière, vous en profiterez une deuxième fois.

    12. Un foyer aimant est la fondation de votre vie.

    13. Dans les désaccords que vous avez avec ceux que vous aimez, ne vous occupez que de la situation actuelle. Ne réveillez pas le passé.

    14. Partagez votre savoir. C'est une manière d'atteindre l'immortalité.

    15. Soyez tendre avec la terre.

    16. Une fois par an, allez quelque part où vous n'êtes jamais allé auparavant.

    17. Souvenez-vous que la meilleure des relations est celle dans laquelle l'amour que chacun porte à l'autre dépasse le besoin que vous avez de l'autre.

    18. Jugez vos succès d'après ce que vous avez dû sacrifier pour les obtenir.

    19. Approchez l'amour et la cuisine avec un abandon insouciant.


    ... Dalaï Lama


     

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    Un petit garçon demande à sa mère « Pourquoi pleures-tu? »

    « Parce que je suis une femme » lui répond-elle.

    « Je ne comprends pas » dit-il.

    Sa mère l'étreint et lui dit « Et jamais tu ne réussiras. »

    Plus tard le petit garçon demanda à son père :  
    « Pourquoi maman pleure-t-elle sans raison ? »

    « Toutes les femmes pleurent sans raison » fut tout ce que son père put lui dire.

    Le petit garçon grandit et devint un homme, toujours se demandant pourquoi les femmes pleurent aussi facilement. 

    Finalement il appela Dieu; quand Dieu répondit au téléphone, il demanda : Seigneur, pourquoi les femmes pleurent aussi facilement ?

    Dieu répondit « Quand j'ai fait la femme, elle devait être spéciale. »

    « J'ai fait ses épaules assez fortes pour porter le poids du monde; mais quand même assez douces pour être confortables ».

    « Je lui ai donné une force intérieure pour endurer les naissances et le rejet qui vient souvent de ses enfants. »

    « Je lui ai donné la force pour lui permettre de continuer quand tout le monde abandonne et prendre soin de sa famille en dépit de la maladie et de la fatigue, sans se plaindre. »

    « Je lui ai donné la sensibilité pour aimer ses enfants dans n'importe quelles circonstances quand ces derniers l'ont blessée très durement. »

    « Je lui ai donné la force de supporter son mari dans ses défauts et je l'ai faite d'une de ses côtes pour protéger son cœur. »

    « Je lui ai donné la sagesse de savoir qu'un bon époux ne blesse jamais sa femme, mais que quelques fois il teste sa force et sa détermination à demeurer à ses côtés sans faiblir»

    « Et finalement je lui ai donné une larme à verser. Cela est exclusivement à son usage personnel quand elle le juge bon »

    « Tu vois : La beauté d'une femme n'est pas dans les vêtements qu'elle porte, ni dans le visage qu'elle montre, ou dans la façon de se peigner les cheveux. »

    « La beauté d'une femme doit être dans ses yeux, parce que c'est la porte d'entrée de son cœur - la place où l'amour réside. »  

     

    Toutes les femmes sont belles ! 

    Auteur Inconnu

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                                Chaque jour, il faut prendre le temps

     

    De regarder et écouter les autres ;

    Il faut oublier son "moi",

    Les gens qui parlent toujours d’eux

    Les "Moi-Je"….

    sont souvent inintéressants et ennuyeux

    La vie est un partage

    Il faut pouvoir écouter ,

     mais surtout entendre.

    Pensez plutôt au "Nous"

    Et la paix s’établirait partout

     

    © Daniels P

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    Le bonheur c'est voir briller ton cœur

    Y déposer délicatement le parfum d'une fleur

    C'est regarder une ride qui se dessine

    Et la trouver tout simplement “divine”


    C'est caresser les cheveux d'un enfant

    En lui parlant tout doucement

    C'est troubler les pétales de la rose

    En lui murmurant quelque chose


    Le bonheur c'est donner plutôt que recevoir


    C'est vous dire que là-bas pointe l'espoir

    Et qu'il n'y a pas de hasard

    Si nous nous parlons tous les soirs


    Le bonheur se dessine sur le monde

    Même quand la menace gronde

    Le bonheur c'est vous dire “Merci”

    Quand vous passez par ici


    C'est sourire plutôt que de pleurer

    Parler en termes simples et discrets

    C'est se dire que même sans en parler

    Nous connaîtrons tous nos secrets


    Un geste tendre qui enlace

    Une parole qui réjouit

    Une route qui se trace

    Une vie qui unit

    C'est le bonheur, c'est la vie



     

     

     

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  • La majorité des êtres humains ne savent que critiquer

    Les actes des autres, les erreurs de notre société.

    Oui, il est tellement plus facile de tout analyser

    Les fautes de nos semblables au fil des années.

     

    C’est beaucoup  plus simple de traiter les autres de cons

    De commenter leur avis, faire des comparaisons

    De jouer les moralisateurs et les donneurs de leçon

    Quand on n’a pas la moindre réponse ni de bonnes suggestions.

     

    De la ménagère à l’homme politique

    Tous sont sujets à la virulente critique

    A penser que nous seuls possédons la science infuse

    Qu’en fin de compte, personne ne diffuse.

     

    L’être humain brasse du vent à force de parler de son voisin

    Toujours à se plaindre du temps qu’il fera demain

    Comme si tout était la faute des autres, même des saisons

    Et éviter de se remettre soi même en question.

     

    Merci à a tous les chroniqueurs, les commentateurs

    Pour nous guider vers un chemin de détracteurs

    Toujours à souligner le mal, le coté négatif

    Alors qu’il doit sûrement y avoir quelque chose de positif.

     

    Rien n’est sans faille, rien n’est tout blanc ou tout noir

    Le but essentiel c’est un jour, de commencer à y croire

    Avoir une conscience dirigée vers un avenir meilleur

    Que l’on soit chef d’état ou accidentellement chômeur.

     

    La critique est aisée, trouver une solution est d’une grosse difficulté

    Il n’y a que celui qui ne fait rien qui ne risque pas de se tromper

    Quoiqu’à force de ne plus rien de tenter, de rester immobile

    Nous finissons par approuver tous ces critiqueurs imbéciles.

     

    Nous avons tous nos défauts, nous faisons tous des erreurs

    Avec notre conscience, un jour, tôt ou tard viendra l’heure

    De payer l’adition, écouter les pleurs de notre cœur

    Que l’on soit chef d’état, ménagère mais aussi … détracteur.

    Texte trouvé sur le net

     

    info

     

      

    "J'appelle tous les gens de bonne volonté à l'amour, la tolérance et la paix, pas seulement en temps de la guerre, mais aussi en temps de paix"

    Irina SENDLER.



     Ps : ici les commentaires sont modérés
    Alors Mesdames X inutiles de vous acharner.
    Vous avez assez avec vos espaces commentaires,pour accuser ou dénigrer les autres.
    Mais désolé pas sur mon blog

    Vos coms sont simplement supprimés
    et avec grand plaisir!

     

     

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    Tentative


    Entre
    Ce que je pense,
    Ce que je veux dire,
    Ce que je crois dire,
    Ce que je dis,
    Ce que tu as envie d'entendre,
    Ce que tu crois entendre,
    Ce que tu entends,
    Ce que tu as envie de comprendre,
    Ce que tu crois comprendre,
    Ce que tu comprends,


    Et vis-verca


    il y a dix possibilités qu'on ait ses difficultés à communiquer.
    mais, si tu veux bien, essayons quand même !

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    Entre giboulées et rayons de soleil,
    cette saison trouble m'émerveille.
    Sortie de son long sommeil, apparaît la reine des abeilles
    Sa majesté va redonner la vie .
    Bientôt la chasse au nectar:
    ranger dans des cases, comme dans des placards.
    Et les  ouvrières sauteront de fleurs en fleurs,
    elles transporteront dans leurs petites pattes le pollen reproducteur,
    celui qui transformera la fleur en fruit.
    Fabuleuse saison où la nature explose ,
    où des millions de fleurs éclosent.
    Fini les arbres ternes et gris:
    ils seront refleuris aux couleurs de la vie...
    Une émulsion de parfums et de couleurs,

    quelques rayons de soleil pour réchauffer le cœur
    La nature s'épanouit .
    Entends-tu les chants dans les taillis
    C'est une ritournelle offerte par nos merles,
    accompagnée des roucoulements de nos tourterelles.
    Que cette saison est belle!
    Dansez les jonquilles entre les vents et la pluie.
    Il est là, si discret, si petit,
    blotti entre deux feuilles vertes :
    le brin du muguet au doux parfum qui nous plaît.

    C'est le printemps :dansez,riez les enfants!
    Entre pluie, vent et grêle, laissez entrer le soleil.
    La vie est belle,
    si l'on s'arrête à l'essentiel.

    (c) Daniels P
    01/04/2010
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    "L'essentiel pour le bonheur de la vie,
    c'est ce que l'on a en soi-même."
    Arthur Schopenhauer
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    Le voyageur :
    "Quel temps allons-nous avoir aujourd'hui ?"
    Le berger :"La sorte de temps que j'aime bien."
    Le voyageur :
    "Comment savez-vous que ce sera la sorte de temps que vous aimez bien ?"
    Le berger :
    "Je me suis rendu compte, Monsieur, que je ne 
    peux pas toujours obtenir ce que j'aime, alors, j'ai appris 
    à aimer ce qui m'est donné. C'est pourquoi je suis 
    parfaitement sûr que nous allons avoir la sorte
    de temps que j'aime bien".

     

     

     

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    Tant de complicité

    Tant d’amitié sans pour autant vous avoir rencontré

    Ce n’est que du bonheur quand vous déposez vos mots comme des fleurs

    Certes le virtuel devient souvent réel

    Et une amitié prend naissance comme un papillon ouvre ses ailes

    Il y a des milliers de blog, nous avons tant de choses à dire

    Le meilleur comme le pire

    Tant de choses à montrer

    Comme des petits bouts de vie partagés

    Mais derrière son ordinateur il y a aussi les lecteurs

    Des personnes cherchant du baume au cœur.

    Bien souvent on me demande pourquoi la vie est belle ?

    Et je réponds simplement pourquoi ne pas l’a voir ainsi !

    Et pour un instant oublier nos soucis

    Bien sur comme tout le monde j’ai mon lot de malheurs

    Des choses qui m’ont écorché le cœur,

    D’autres m’ont fait peur.

    Mais pour avancer je me force à rêver.

    Je veux vivre rire et chanter  pourquoi voudrais-je me lamenter ?

    Nous avons assez de négatif avec les informations

    Celles qui nous procurent et nourrissent nos angoisses et nos peurs.

    Sans la vie est belle je n’aurais jamais connu des gens exceptionnels.

    Pour un instant chassez vos malheurs

    Abreuvez-vous de ces mots qui viennent du cœur

    Tentez de revoir le monde avec ses couleurs

    Sachez qu’il y a toujours une personne qui pense à vous

    Pour qui vous comptez beaucoup

    Dans la vie on n’est jamais seul

    C’est bien souvent notre propre attitude qui crée des moments de solitude

    Cassez votre mur d’angoisse afin de laisser de l’espace

    Oui vous valez la peine !

    Vous méritez que l’on vous aime.

    C’est une façon à moi de m’exprimer

    Et j’espère que celle-ci pourra vous éclairer

    Bonne journée à tous

    :o) Pascal

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    Écouter est peut-être le plus beau cadeau que nous puissions faire à quelqu'un… C'est lui dire, non pas avec des mots, mais avec ses yeux, son visage, son sourire et tout son corps : tu es important pour moi, tu es intéressant, je suis heureux que tu sois là… Pas étonnant si la meilleure façon pour une personne de se révéler à elle-même, c'est d'être écoutée par une autre ! Écouter, c'est commencer par se taire… Avez-vous remarqué comment les “dialogues” sont remplis d'expressions de ce genre : “c'est comme moi quand…” ou bien “çà me rappelle ce qui m'est arrivé…” Bien souvent, ce que l'autre dit n'est qu'une occasion de parler de soi.

     

    Écouter, c'est commencer par arrêter son petit cinéma intérieur, son monologue portatif, pour se laisser transformer par l'autre. C'est accepter que l'autre entre en nous-mêmes comme il entrerait dans notre maison et s'y installerait un instant, s'asseyant dans notre fauteuil et prenant ses aises.

    Écouter, c'est vraiment laisser tomber ce qui nous occupe pour donner tout son temps à l'autre. C'est comme pour une promenade avec un ami : marcher à son pas, proche mais sans gêner, se laisser conduire par lui, s'arrêter avec lui, repartir, pour rien, pour lui…

    Écouter, c'est ne pas chercher à répondre à l'autre, sachant qu'il a en lui-même les réponses à ses propres questions. C'est refuser de penser à la place de l'autre, de lui donner des conseils et même de vouloir le comprendre.

    Écouter, c'est accueillir l'autre avec reconnaissance tel qu'il se définit lui-même sans se substituer à lui pour lui dire ce qu'il doit être. C'est être ouvert positivement à toutes les idées, à tous les sujets, à toutes les expériences, à toutes les solutions, sans interpréter, sans juger, laissant à l'autre le temps et l'espace de trouver la voie qui est la sienne.

    Écouter, ce n'est pas vouloir que quelqu'un soit comme ceci ou comme cela, c'est apprendre à découvrir ses qualités qui sont en lui spécifiques. Être attentif à quelqu'un qui souffre, ce n'est pas donner une solution ou une explication à sa souffrance, c'est lui permettre de la dire et de trouver lui-même son propre chemin pour s'en libérer.

    Écouter, c'est donner à l'autre ce que l'on ne nous a peut-être encore jamais donné : de l'attention, du temps, une présence affectueuse.

    Apprendre à écouter quelqu'un, c'est l'exercice le plus utile que nous puissions faire pour nous libérer de nos propres détresses… C'est en apprenant à écouter les autres que nous arrivons à nous écouter nous-mêmes, notre corps et toutes nos émotions, c'est le chemin pour apprendre à écouter la terre et la vie, c'est devenir poète, c'est-à-dire sentir le coeur et voir l'âme des choses.

    A celui qui sait écouter, est donné de ne plus vivre à la surface : il communie à la vibration intérieure de tout vivant.

    André Gromolard

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    Cherchant la cause la plus profonde du bonheur humain,je n'ai jamais trouvé l'argent,le luxe,le profit,ni la domination,l'oisiveté,lanoce et la jouissance.

    Chez les gens heureux,j'ai trouvé à la base une forte intériorité,une joie spontanée pour les petites choses et une grande simplicité.

    Chez des gens heureux j'ai toujours  été frappé par l'absence d'envie insensées.

    Chez des gens heureux je n'ai jamais rencontré l'impatience,ni l'emballement ni l'exaltation.

    Ne croyez pas qu'ils ne connaissent pas la souffrance ,ils l'ont connue mais ils regardent vers l'avenir.

    Très souvent tous ces gens ont eu leur part de malheurs ,mais leur force et leur bonne dose d'humour les poussent en avant.

    Soyez Heureux

    Amitiés :o)

     



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    Un paysan avec 3 de ses ânes se rendait au marché

     

    pour vendre sa récolte.

     

    La ville était loin et il lui faudrait plusieurs jours

     


    pour l'atteindre.

     


    Le premier soir,

     


     

    il s'arrête pour bivouaquer non loin de la maison d'un vieil ermite.

     

    Au moment d'attacher son dernier âne,

     

    il s'aperçoit qu'il lui manque une corde.

     

     Si je n'attache pas mon âne se dit-il, demain,

     

    il se sera sauvé dans la montagne!

     

    Il monte sur son âne après avoir solidement attaché les 2 autres

     


    et prend la direction de la maison du vieil ermite.

     


    Arrivé, il demande au vieil homme s'il n'aurait pas une corde à lui donner.

     


     

     Le vieillard avait depuis longtemps fait voeux de pauvreté

     

    et n'avait pas la moindre corde,

     


    cependant, il s'adressa au paysan et lui dit:

     


    "Retourne à ton campement et comme chaque jour

     


     

    fait le geste de passer une corde autour du cou de ton âne et

     


    n'oublie pas de feindre de l'attacher à un arbre."

     


    Perdu pour perdu,

     


     

    le paysan fit exactement ce que lui avait conseillé le vieil homme.

     

    Le lendemain dès qu'il fût réveillé,

     

    le premier regard du paysan fût pour son âne.

     

    Il était toujours là!

     

    Après avoir chargé les 3 baudets, il décide de se mettre en route

     

    , mais là, il eut beau faire, tirer sur son âne, le pousser, rien n'y fit.

     

    L'âne refusait de bouger.

     


    Désespéré, il retourne voir l'ermite et lui raconte sa mésaventure.

     


    "As-tu pensé à enlever la corde?" lui demanda-t-il.
    "Mais il n'y a pas de corde!" répondit le paysan.
    "Pour toi oui mais pour l'âne..."

    Le paysan retourne au campement et d'un ample mouvement,

     


     

    il mime le geste de retirer la corde.

     


    L'âne le suit sans aucune résistance.

     

    Ne nous moquons pas de cet âne.

    Ne sommes-nous pas, nous aussi, 

     


     

    esclave de nos persuasions
     

     

    (imaginer qu'on "se doit" de faire ceci, ou qu'on " doit être" comme cela,

     

    ou la crainte le regard des autres, etc)

     

    et pire encore : esclave de nos habitudes mentales

     


    (peurs, jalousies, orgueil, envie, etc) ?

     


    Tout ceci n'est pourtant qu'imagination de notre part...

     


     

    car rien ni personne ne nous oblige à quoi que ce soit en réalité,

     

     c'est nous qui nous obligeons à certains actes...

     

    Dans tous nos actes, nous avons toujours le choix,

     


    il ne s'agit que de le vouloir vraiment...

     


    Demandez-vous donc

     


     

    quelle(s) corde(s) invisible(e) vous empêche(nt) de vous exprimer,

    de vivre, de vous épanouir et de progresser... 

     


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    Un vent caressait le champ de blé

    Les épis se mirent à onduler

    Tel des vagues sur la mer en train de danser

    Cet instant magique fut accompagné de musique

    Un joli merle nous chantait une ritournelle

    En levant les yeux j'ai vu l'artiste mélodieux

    Par dessus ses ailes j'aperçu le ciel

    Et la ronde de nuages

    Cumulus en forme de personnages

    Dans ce ciel bleu ces bouts de coton blanc

    Changeaient de forme à chaque instant

    Depuis combien de temps

    N'avez vous pas vécu de tel moment?

     

    Il  ne m'a fallu qu'un instant

    Pour vivre ce moment

     

    Il ne m'a fallu qu'un petit moment

    Pour partager cet instant

     

         Auteur:

    ©http://instantsdevie.eklablog.com/

    Daniels P.

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    Il n’est pas facile de cerner, dans tous les tâtonnements et les errance d’une vie,
    les démarches clés qui permettent d’accéder au meilleur de soi.
    Il n’est pas aisé d’entretenir vivace la sève du respect envers sa propre personne.
    Tout ceci est peut-être vrai,
    mais cela ne doit pas nous empêcher d’essayer.


    « J’aurais voulu être professeur de vie.
    J’aurais appris aux enfants, aux adultes aussi tout ce qui n’est pas écrit dans les livres.
    Je leur aurais appris les choses délicates et précieuses de la vie :
    qu’un amour entretenu ne s’use pas,
    que la seule liberté qui vaille la peine d’être vécue est la liberté d’être,
    qu’il est important de prendre le temps pour regarder la fuite ou l’immobilité d’un nuage, 
    pour suivre le vol d’un oiseau,
    qu’il est possible de se laisse surprendre par l’infini vivance des choses de la vie.

    J’aurais tenté de leur faire découvrir :
    qu’il est vital d’apprendre à s’aimer,à se respecter, à se définir,
    qu’il est encore plus important de ne pas se laisser enfermer par les jugements négatifs, 
    de résister aux rumeurs, de ne pas se laisser polluer par les messages toxiques
    qui peuvent venir de ceux qui prétendent nous aimer ou mieux savoir pour nous.


    J’aurais semé en eux le goût de la curiosité
    pour ne pas se laisser entraîner par les idées toutes faites, 
    par les modes ou de rester immobilisé par les conditionnements qui s’imposent insidieusement. 
    J’aurais essayé de leur apprendre à remettre en cause leurs croyances 
    quand elles sont devenues des certitudes terroristes, 
    pour laisser plus de place à l’imprévisible de la vie ».

    Professeur de vie, quel beau métier à inventer.

    Jacques Salomé

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    Cela  faisait vingt ans que  je conduisais un taxi  pour gagner ma vie.

     


    Lorsque  je suis arrivé à  2 h 30 du matin,  l'immeuble était sombre,  excepté une simple  lumière dans une fenêtre  du rez-de-chaussée.

    Dans  ces circonstances, plusieurs  chauffeurs auraient seulement  klaxonné une ou deux  fois ; attendu une  minute et seraient repartis

    J’ai  trop vu de gens  démunis dépendant des  taxis comme seul moyen  de transport.

    Donc,  sauf dans des situations  à risque, je me  suis toujours rendu  à la porte de  mes clients

    Cette  cliente pourrait bien  être quelqu'un ayant  besoin de mon aide.

    Alors,  j'ai marché jusqu'à  sa porte et j'ai  sonné.

    « Une petite minute », a répondu une voix frêle d'un certain âge.

     

    Je  pouvais entendre quelque  chose qui était traîné  lentement sur le plancher.

    Après  une longue pause, la  porte s'est ouverte.

    Une  petite femme dans les  80 ans se tenait  devant moi.

    Elle  portait une robe imprimée  et un chapeau sans  bord avec un voile  épinglé dessus, comme  quelqu'un sorti d'un  film des années 40.

    À ses pieds, il y avait une petite valise de cuir usagé.

    L'appartement  était sombre comme  si personne n'avait  vécu dedans depuis  des années.

    Tous  les meubles étaient  recouverts de draps.

    Il  n'y avait pas d'horloges  sur le mur, pas  d'objets de décoration  ni de bibelots sur  les étagères.

    Dans  le coin, il y avait  une boîte de carton  remplie de photos. 

    « Voudriez-vous porter mes bagages à votre voiture, s’il vous plaît ? »

    a-t-elle  demandé.


    J'ai transporté sa  valise jusqu'au taxi,  puis je suis retourné  vers elle.

    Elle  a pris mon bras  et nous avons marché  lentement vers le taxi.

    Elle  continuait de me remercier  pour ma gentillesse.

    « Ce n'est rien »', Lui ai-je répondu.

    « J'essaie simplement de traiter mes passagers de la façon dont je voudrais que l’on traite ma propre mère.

    « Vous êtes un bon garçon »,

    me  répondit-elle.

    Nous  sommes montés dans  le taxi puis, m’ayant  donné une adresse,  elle a demandé :  « Pourriez-vous me  conduire en ville ? »

    « Ce n'est pas le chemin le plus court ! » lui ai-je répondu.



    « Oh, ça ne me dérange pas » me répondit-elle,

    « Je ne suis pas pressée, je me rend dans une maison de retraite. »



    Je  l’ai regardé dans  le rétroviseur.

    Ses  yeux humides brillaient  et elle a ajouté  :

    « Il ne me reste plus de famille et j’ai entendu le docteur dire que mes jours étaient comptés.

    'J'ai  arrêté le compteur  et je l'ai écoutée. 
    « Quelle route voudriez-vous que je prenne ? » lui  ai-je demandé. 
     

    Pendant  les deux heures suivantes,  nous sommes allés en  ville.

    Elle  m'a montré les édifices  où elle avait travaillé  jadis, comme opératrice.

    Nous  sommes allés dans le  quartier où elle et  son mari avaient vécus  quand ils étaient jeunes  mariés.

    Elle  m'a fait arrêter devant  un vieil entrepôt qui  avait été autre fois,  une salle de danse.

    Elle  s’y rendait souvent  pour danser quand elle  était jeune fille.

    Parfois,  elle me demandait de  ralentir devant un immeuble  particulier ou de m’arrêter  à un coin de rue.

    Là,  elle fixait la noirceur  du quartier ; ne  disant rien. 

    Plus  tard, vers le déclin  du soleil, elle a  soudainement dit

    « Je suis fatiguée maintenant, allons-y. »   

    Nous  sommes allés en silence  jusqu'à l'adresse qu'elle  m'avait indiquée.

    C'était  un édifice bas, comme  un petit foyer de  convalescence, avec un  chemin qui passait sous  un portique.

    Deux  infirmiers se sont approchés  du taxi dès notre  arrivée.

    Soucieux  et prévenants, ils  surveillaient chacun de  ses mouvements.

    Ils  devaient l'attendre depuis  un bon moment.

    J'ai  ouvert le coffre de  la voiture et porté  la petite valise jusqu'à  l’entrée.

    La  vieille dame a été  installée dans une  chaise roulante.   

    « Combien je vous dois ? » a-t-elle a demandé en cherchant dans sa bourse.  
    « Rien du tout.   
    « Mais vous devez gagner votre vie ! » 
    « Il y aura bien d'autres passagers.» lui répondis-je en souriant...

    Machinalement,  je me suis penché  vers elle et l'ai  serré dans mes bras.

    Essuyant  discrètement une larme,  elle me dit :   
    « Vous avez donné à une vieille femme un petit moment de joie, merci. »  
     

    Je  lui ai fait un  signe de la main,  puis je suis reparti  vers mon taxi, sous  la faible lueur des  lampadaires.

    Derrière  moi, une porte s'est  refermée . . .

    Ce  son résonne dans ma  tête comme la fermeture  définitive d'une vie.

    Je  n'ai pas pris d'autres  passagers ce jour là.    
    J'ai conduit sans but, perdu dans mes pensées. 
    Pour le reste de la journée, je pouvais difficilement parler.

    Et  si cette femme avait  pris un chauffeur pressé  qui était impatient  de finir sa journée  de travail ?


    J’aurais même pu refuser cette course, ou j’aurais pu klaxonner une fois, puis repartir.

    En  ressassant ces évènements,  je me dit que je  n’aurais pas pu faire  quelque chose de plus  important dans ma vie.



    Nous  sommes souvent conditionnés  à penser que nos  vies ne tournent qu’autour  de grands évènements.

    Mais  de grands moments nous  attendent sans que nous  les prévoyons.

    Des  moments magnifiquement que  d’autres peuvent trouver  sans intérêt.

    Les  gens peuvent oublier  ce que vous avez  fait ou ce que  vous leur avez dit.

    Mais  ils se rappelleront  toujours comment vous  leur avez fait comprendre  qu’ils existaient

     

    La  vie n’est peut-être  pas toujours le ‘’grand  bal’’ que

    nous  espérions, mais puisque

    que  nous y sommes invités,  prenons donc le temps

    de  ‘’bien danser’’…   

     

     

     

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