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    Le 29 mai 1980, fut le jour de sa naissance mais aussi celui de sa condamnation, celui qui aurait du être un des plus beaux jours de la vie de ses parents, devint le pire.

    Ce jour-là "Elle" fut condamnée à ne pas vivre comme les autres enfants, à ne pas jouer comme les autres enfants, à ne pas grandir comme les autres enfants, à ne pas être une adolescente tout à fait comme les autres, la seule condamnation qu'elle n'obtiendra pas de son professeur de cardiologie, celle de l'école, non, "Elle" ne sera pas condamner à suivre des cours différents et devra envers et contre tout y aller à l'école.

    Qu'est ce que c'est que cette vie qui vous empêche toutes les joies de l'enfance, mais même celle de ne pas aller à l'école.

    L'école est un terrain de jeu formidable me direz-vous et cela est exact lorsque l'on s'y sent bien et à sa place.

    Ce n'était pas son cas, elle est devenue une véritable jungle, douleurs, violences, insultes, moquerie, étaient son fardeau quotidien qui devait peser bien lourd sur son petit corps déjà bien fragilisé, si fragile qu'elle devait avoir deux sacs de cours, un pour les cours du matin et un pour l'après-midi qu'elles échangeait le midi avec sa maman. 

    "Elle" avait 11 ans quand ce second calvaire à commencer, "Elle" entrait en 6ème au collège de Créon et elles furent les pires années de sa vie.

    Ce livre est surtout fait pour parler de ça, de la méchanceté de ses ados boutonneux qui pensent tout savoir et n'arrivent même pas à faire la vraie différence entre une chouineuse capricieuse et une enfant MALADE.

    Ils auraient du la protéger, ils préféraient la gifler ...

    Plus tard, ce sera le lycée, on est plus âgé au lycée, on est supposé être capable de comprendre, et bien non, c'est la même en plus douloureux, c'est le temps de copains, des premières sorties ... Oui mais sans "Elle", "Elle" n'aurait pas pu et les aurait empêché de ...

    Voilà, comment on se retrouve seule dans une vie qui n'est déjà pas bien facile ni agréable par moment. 

    Inexorablement, on s'enfonce dans la solitude, perdant confiance en l'être humain, perdant sa propre confiance en soi, le monde extérieur et les gens arrivent à vous faire peur, vous vous terrez au plus profond de vous même. 

    Oui, l'entrée en matière est dure mais elle est pourtant réalité, cette réalité qu'aucun enfant, aucun parent ne devrait avoir à affronter, oui mais voilà ... Elle est bien là cette réalité et il va falloir composer avec elle.

     

     

    Cette dure réalité s'appelle maladie, CARDIOPHATIQUE pour être plus exact, une de celle qui ne permet pas de courir, de sauter de nager, de plonger et tant d'autres ...

    Celle qui provoque des œdèmes et qui par conséquent la gêne et lui interdit le maillot sur la plage.

    Celle qui vous envoie très régulièrement à l'hôpital, pour parfois de longs séjours, parfois moins longs ... Mais toujours dans l'incertitude et l'inquiétude.

    Des opérations qui durent des heures et sont très délicates, la peur, sa peur à "Elle", la peur de ses parents, de son frère et sa sœur, la peur d'une famille toute entière. 

    Une telle maladie, qu'il lui est  impossible de travailler et, pire, une maladie qui ne lui donnera jamais la joie d'être maman, son petit cœur ne supporterai pas une grossesse. 

    "Elle" a eu et a toujours beaucoup de courage, elle a vu partir tous ces amis de combats, les uns après les autres, elle seule reste, seule encore une fois.

    Seule pour combattre sa peur quotidienne, la peur de mourir ...

    "Elle", elle s'appelle Aurélie Bélair, elle va avoir 30 ans dans quelques mois, elle vit dans le bordelais et elle a un rêve, comme chacun de nous, le sien c'était dans un premier temps de faire un film de sa vie mais ce n'est pas chose facile, ce sera dont écrire son autobiographie,
     oui c'est cela le rêve de sa vie  !!!

    Pourquoi un livre, je pense que pour "Elle", cela a permit d'extérioriser certaines choses qu'elle n'avait jamais osé dire jusqu'à ce jour mais surtout, comme c'est une nénette qui pense aussi aux autres, elle voudrait que chacun d'entre nous sache, que nous apprenions à nos enfants qu'il faut respecter une personne malade, l'aider (pas l'assister hein?), juste l'aider dans les moments difficiles, quand elle en a besoin et surtout la comprendre, comprendre que si elle est exempté de sport à l'année, il y a une raison, que si elle monte les marches moins vite que vous, ce n'est pas pour vous embêter mais c'est parce qu'elle ne peut pas aller plus vite, comprendre que NON elle n'est pas la chouchou des profs ou du directeur, ils sont simplement humains et désarmés face à la violence de certains, ils essaient donc de la protéger un peu, tant sur le plan moral que physique.

    Une mauvaise bousculade pourrait être fatale.

    Et tant d'autre chose comme ça ...

    Et bien, ce rêve "Elle" l'a accomplit, oui mais en partie seulement, il est fait, édité, en vente même, oui mais voilà maintenant il faut le faire connaitre et nous, nous vivons en pleine campagne et loin des médias surtout, alors vous comprenez bien que cela n'est pas facile ...

     

     J'en appelle donc à votre très grande générosité, je demanderai à celles et ceux qui le souhaitent de faire un copier-coller de cet article afin de le mettre sur vos blogs, qu'il fasse le tour de la blogosphère, le tour de l'univers !!!

    Vous voulez faire un peu plus, passer un moment très agréable, je vous invite à commander son livre.Il est merveilleux, il prend aux tripes sur certains passages mais elle a su rester humble, rester elle-même.

    Derrière la maladie se cache quelque chose d'encore plus fort, le mépris des gens ce qui a entrainé chez Aurélie un grand mal être, un p'tit cœur qui en plus d'être bien fragile, saigne.

    Personnellement, je l'ai beaucoup apprécié, Aurélie nous donne à la fois une sacré leçon de courage et une leçon de vie

     

    Ce texte provient du blog de Sylvia

    Si j’ai décidé de publier cet article, et de faire suivre, c’est parce que je connais la cruauté des enfants entre eux , quand il y a un enfant  différent. Je n’ai pas lu le livre, je pense bien que je vais me le procurer. En espérant que son témoignage, ne laissera pas indifférent, et donnera aux parents l’envie d’apporter à leurs enfants plus de tolérance et de réflexion. Arriver à ce qu’ils se posent des questions, les bonnes !

     

    Il ne faut jamais juger sans connaitre le fond du problème.

     

    Si ce livre vous intéresse, cliquez ci-dessous.



    4803i.jpg  




     vu chez :
    http://au-fil-des-jours.over-blog.fr/
     

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    Un père et son fils se promenaient en montagne.

     

      Soudain, le fils tombe, se fait mal et crie:

     

      "AAAhhhhhhhhhhh!!!"

     

      A sa grande surprise, il entend une voix qui répète, dans

    la montagne:

     

      "AAAhhhhhhhhhhh!!!"

     

      Curieux, il demande:

     

      "Qui es-tu?"

     

      Il reçoit pour toute réponse:

     

      "Qui es-tu?"

     

      Agacé par cette réponse, il crie:

     

      "Peureux!"

     

      Et entend:

     

      "Peureux!"

     

      Alors il regarde son père et demande:

     

      "Qu'est-ce qui se passe, papa?"

     

      Le père sourit et répond:

     

      "Mon fils, écoute bien, maintenant."

     

      Et il crie vers la montagne:

     

      "Je t'admire!"

     

      La voix répond:

     

      "Je t'admire!"

     

      Il crie encore:

     

      "Tu es un champion!"

     

      La voix répond:

     

      "Tu es un champion!"

     

      Le garçon est surpris mais ne comprends toujours pas.

     

      Alors le père explique:

     

      "Les gens le nomment ECHO, mais c'est en fait la VIE.

    Cela te renvoie tout ce que tu dis ou fais.

     

      Notre vie est simplement le reflet de nos actions.

    Si tu veux plus d'amour dans le monde, commence par en

    avoir plus dans ton coeur.

     

      Si tu veux que ton équipe soit plus performante, commence

    par être plus performant. Cela marche pour tout, dans notre

    vie;

     

      La vie te rendra tout ce que tu lui donneras."

     

      VOTRE VIE N'EST PAS UNE COINCIDENCE: C'EST LE REFLET DE

    CE QUE VOUS PENSEZ ET FAITES!

     

     

      (auteur inconnu, traduction club-positif.)

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    Un Roi, ayant entendu parler d’un Sage dont l’enseignement


    était réputé dans la région, l’invita à dîner.

     

       Le jour précédent l’invitation, le grand Maître se présenta

    au palais dans l’habit de mendiant qu’il portait parmi ses

    disciples. Personne ne fit attention à lui.

     

       Il entra, mais n’eut pas même le temps d’arriver à la salle

    à manger : les pages du Roi, voyant ce mendiant souiller de

    sa présence le sol royal, le menèrent vers les cuisines où on

    lui offrit quelques restes.

     

       Le Sage ne dit rien mais s’en alla comme il était venu.

     

       Le lendemain, il revint chez le Roi, cette fois-ci vêtu de

    son plus beau punjabi traditionnel : on lui réserva une place

    d’honneur au milieu des convives de haut rang.

     

       Mais dès que les pages apportèrent les plats, la réaction

    du Sage surprit tout le monde: il prit la nourriture dans ses

     mains et en fit une boule qu’il mit dans ses poches.

     

       Le Roi choisit de ne rien dire mais alors qu’on apportait

    le dernier plat, le grand Maître plongea la main à l’intérieur

    et en retira une pleine poignée de riz qu’il répandit sur son

    manteau en disant:

     

       « Tiens, c’est pour toi ».

     

       Le Roi, n’y tenant plus lui lança:

     

       « Serais-tu devenu fou, toi que l’on dit si sage ? »

     

       Après un long silence, le Maître répondit:

     

       « Je me suis présenté chez toi hier dans mon habit de mendiant

    et l’on m’a donné les restes comme à un chien. Aujourd’hui,

    j’arrive richement vêtu et on m’honore. C’est donc mon manteau

    que l’on invite, il est normal que ce soit lui qui se nourrisse. »

     

                               --o0o--

     

       Sur quoi devons-nous juger autrui ? Sur les apparences ou

    sur ce qu’il est vraiment ?

     

       Comme ce Roi, nous sommes trop souvent méfiants et victimes

    des préjugés de notre caste, de notre famille, de notre condition

    sociale.

     

       Nous fermons notre cœur et notre raison avant de connaître

    la personne en face.

     

       Avant de juger, écoutons ce que les autres ont à nous dire:

    nous recueillerons peut-être des secrets très utiles...

    et s’ils n’ont que de mauvaises paroles, nous saurons alors

    quoi faire pour les éviter !

     

     

    Anonyme


     

     





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    Avec une voix timide et de grands yeux admiratifs, le petit

    garçon demande à son père qui rentre de son travail:

     

       "Papa, combien gagnes-tu à l'heure?"

     

       Très surpris, le père jette un coup d'oeil à son fils et répond:

     

       "Ecoutes, fiston, même ta mère ne le sait pas. Laisse-moi un peu

    tranquille. J'ai eu une journée chargée, je suis fatigué."

     

       "Allez, papa, dis-le moi: combien gagnes-tu en une heure de ton travail?"

     

       Finalement, le père craque:

     

       "30 euros de l'heure, nos amis québécois diraient 40 dollars"

     

       "Papa, pourrais-tu me prêter 15 euros?" demande l'enfant.

     

       Montrant sa fatigue et son énervement, le père se fâche:

     

       "Ainsi c'est pour cela que tu voulais savoir combien je gagne de l'heure?

    Pour m'emprunter de l'argent! Allez, va te coucher et arrête de m'ennuyer ainsi!"

     

     

       Il faisait déjà nuit et le père repensait à ce qu'il avait dit à son

    fils.

     Après tout se dernier voulait peut-être s'acheter quelque chose

    d'important pour lui, ou faire un cadeau à sa maman?

    Pour se mettre en paix avec sa conscience,

    il va voir dans la chambre si son fils   dort déjà.

     

      "Est-ce que tu dors, fiston?"

     

       "Non papa, pourquoi?"

     

       "Tiens voici l'argent que tu m'as demandé" répond le père.

     

       "Merci, Oh merci papa!"

    Le garçon glisse sa main sous son oreiller

    et sort 15 euros.

     

       "Maintenant j'ai assez d'argent! Maintenant j'ai 30 euros!!!"

     

       Le père regarde son fils, étonné, ne comprends pas sa joie.

     

       "Papa, est-ce que tu peux me vendre une heure de ton temps?"

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