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Mon maître Mon ami.... NON A L'ABANDON
Je tournoyais sur moi-même
Tout mon corps frissonnait de bonheur
Toi mon maître mon ami tu prenais délicatement ma laisse
Le temps était merveilleux, il y avait un soleil radieux
Quelle joie immense de me promener avec toi mon maître, mon ami.
Regarde moi dans les yeux, je ne puis parler mais mon
regard te dit je t’aime, tu me connais tu sais que je suis sincère.
Comme d’habitude je profitais un maximum de ces rares instants de bonheur.
Mon museau fouinait partout à la recherche de mille et une odeurs, je sentais la tienne de loin celle que je préfère.
Je te sentais près de moi toi mon maître, mon ami.
Quelle chance de t’avoir auprès de moi, quel bonheur d’entendre les battements de ton cœur.
Il est vrai que quelques fois je devais supporter tes sautes d’humeur, il t’arrivait de crier sur moi pour rien, je ne comprenais pas et m’éloignais tout doucement.
Tes excès de colère je ne les jugeais pas
Normal tu es mon maître, mon ami
Mais quelle idée t’as pris de m’accrocher à cet arbre.
Sincèrement je pensais que tu allais revenir.
J’ai beaucoup tiré sur ma corde pour te rejoindre
Cela me faisait mal cela m’étranglais
Je me disais si tu m’aime autant que je t’aime tu serais super malheureux sans moi.
J’attendais impatiemment, je n’avais plus la force de tirer.
Cette corde trop serrée était même arrivée à me faire saigner.
Mais ou étais-tu ? toi, mon maître, mon ami
A force d’aboyer j’avais soif, ma gorge était sèche, la plaie de mon coup faisait mal, des insectes en plus venaient se coller dessus.
Voilà plusieurs heures que je me débattais : ‘ viens vite toi mon maître mon ami’.
C’était une question de vie ou de mort…
J’espérais qu’il ne te soit rien arrivé.
‘Comme tu me manques’.
Je me sentais faible, j’avais faim, bizarrement je ne sentais plus les insectes piquant dans ma plaie.
Mes yeux avaient dur à rester ouverts, mais je scrutais l’horizon dans ta direction.
A présent je ne sais plus garder les yeux ouvert, mes mon odorat fonctionne encore, je suis certain que tu vas venir toi mon maître, mon ami.
Je dois me faire une raison, tu ne reviendras pas, pourvu qu’il ne te soit rien arrivé.
Je sens la vie s’échapper de moi, et malgré tout je pense encore à toi.
Je veux que tu saches tu es mon maître mon ami
Je t’aime sois heureux
©Daniels P
http://instantsdevie.eklablog.com/18/05/2014
Aujourd'hui il a 14,5 ans ce n'est que du bonheur
Tags : maitre, ami, moi, aime
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Commentaires
C'est le genre de texte que je prends soin de ne pas lire, car d'une part je pleure et de plus je sens ma haine envers l'homme monter dans mon coeur.
Si j'ai quelqu'un comme ça en face de moi, je le tue !
j'adore le labrador ,, j'aimerais en avoir un autre , noir il etait aussi le mien il s'appelait ""LORD""il lui ressemble beaucoup ,,je connais cette triste réalité
je n'ai jamais acheté de chien.
Chaque amis ayant partagé ma vie étaient victime de l'abandon
Trop triste et cependant c'est la triste réalité de la vie!!!! Les vcances sont là et plein de chiens vont devoir vivre cela à cause de la méchanceté humaine... Bisousssssssssssss
Comment peut-on faire des choses pareils?
C'est à pleurer.
J'espère que vous allez tous bien.
Amitiés,Pierre.Bonjour Pascal,
En te lisant, les larmes coulent toute seules sur mes joues (ce poème-ci et celui sur les coridas que tu as mis en commentaire sur mon blog)
Et c'est encore plus vrai que les abandons vont aller bon train pendant les deux mois qui viennent...
Au plus je vois les animaux au moins j'aime les hommes...(être humain)
Je t'embrasse bien fort en espérant que tout ailles bien pour toi et ta super tribu.
Fanchon
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Bonsoir Pascal.
Merci de ta visite chez "La Tanière de Louvya" (c'est moi aussi Jo/Louvya), un super texte et tellement vrai.
Si tu retournes a la Tanière, clic là >>> Lettre à mon Maître
j'avais écris un texte (trouvé sur le net) il y a quelques temps, et même laisse descendre ton curseur sur Stp, ne m'abandonne pas, j'essais d'en mettre autant que je trouve, on ne le dira jamais assez, faire circuler, car l'homme est la race la plus cruelle qu'il soit sur cette terre.
Bonne soirée cher Pascal, bisous a toi et a la Belgique, ainsi qu'aux tiens, sans oublier une tendre calinette à Stanley. Jo