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Il ne peut rien lui cacherMais à la façon dont elle le regardeIl va sûrement l'embrasserMais qui a dit ça, que l'amour ça n'existait pas ?On entendrait une mouche volerEt quant à la façon dont ils se regardentIl va sûrement l'épouserIl doit lui dire ça, que l'amour les emporteraElle doit l'écouter et pense que c'est l'étéVa, allez, va pour l'amour libreToi et moi on dirait deux étrangers, làEntre elle et toi il y a la fureur de vivreEt ne me dis pas que l'amour ça n'existe pasEntre ces deux-là c'est une réalitéEn face, au café de FloreRegarde-les, tu vas tout comprendreIls s'embrassent encore plus fortEt toi tu trembles, Dieu que cet amour est tendreIls sont enlacés, c'est une exclusivitéVa, allez, va pour l'amour libreToi et moi on dirait deux étrangers, làEntre elle et toi il y a la fureur de vivreEt ne me dis pas que l'amour ça n'existe pasEntre ces deux-là c'est une réalitéNon ne me dis pas que l'amour ça n'existe pasEntre ces deux-là c'est une réalitéEntre elle et toi il y a la fureur de vivreEt ne me dis pas que l'amour ça n'existe pasEntre ces deux-là c'est une réalitéAllez, va, pour l'amour libre
Va pour l'amour libre
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Veuillez m'excuser si je ne passe pas chez tout le mondeMais mon ordi de dépannage à l'art de se couper tout le tempsCeci étant dit :
je suis quand même très heureux de l'avoir!
bisous
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Inversion des valeurs - lettre d'une mère à une autre mère, après le journal télévisé de RTP1 (Portugal). HISTOIRE VRAIE.
Chère Madame,
J'ai vu votre protestation énergique devant les caméras de télévision contre le transfert de votre fils de la prison de Porto à la prison de Lisbonne. Je vous ai entendue vous plaindre de la distance qui vous sépare désormais de votre fils et des difficultés que vous avez à vous déplacer pour lui rendre visite. J'ai aussi vu toute la couverture médiatique faite par les journalistes et reporters sur les autres mères dans le même cas que vous et qui sont défendues par divers organismes pour la défense des droits de l'homme, etc.
Moi aussi je suis une mère et je peux comprendre vos protestations et votre mécontentement. Je veux me joindre à votre combat car, comme vous le verrez, il y a aussi une grande distance qui me sépare de mon fils. Je travaille mais gagne peu et j'ai les même difficultés financières pour le visiter. Avec beaucoup de sacrifices, je ne peux lui rendre visite que le dimanche car je travaille tous les jours de la semaine et aussi le samedi et j'ai également d'autres obligations familiales avec mes autres enfants.
Au cas où vous n'auriez pas encore compris, je suis la mère du jeune que votre fils a assassiné cruellement dans la station service où il travaillait de nuit pour pouvoir payer ses études et aider sa famille. J'irai lui rendre visite dimanche prochain. Pendant que vous prendrez votre fils dans vos bras et que vous l'embrasserez, moi je déposerai quelques fleurs sur sa modeste tombe dans le cimetière de la ville. Ah, j'oubliais. vous pouvez être rassurée, l'état se charge de me retirer une partie de mon maigre salaire pour payer le nouveau matelas de votre fils puisqu'il a brûlé les 2 précédents dans la prison où il purge sa peine pour le crime odieux qu'il a commis. Pour terminer, toujours comme mère, je demande à tout le monde de faire circuler mon courrier, si intime qu'il soit. nous parviendrons ainsi peut-être à arrêter cette inversion des valeurs humaines.
Les droits de l'homme ne devraient s'appliquer qu'aux hommes droits !!!
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